A ses yeux, il ne s’agit pas de remettre en cause le consensus monétaire adopté au G7 de Cologne en 1999, plus tard repris à son compte par le G20, et qui consiste à laisser aux marchés le soin d’apprécier la meilleure allocation du capital. Cependant, la principale erreur commise au cours des dix dernières années a été de ne pas prendre assez au sérieux les recommandations du Fonds monétaire international, dont le rôle de prévention des crises doit être renforcé